Qu’advient-il de nos corps soumis à l’experience illimitée du virtuel? A travers des danseurs branchés à un paysage de sculptures rudimentaires, Graft explore un monde où l'horizon illimité du virtuel cherche à inclure la présence physique des corps. Ces chimères sculpturales contraignent, prolongent et libèrent métaphoriquement le corps des danseurs, semblant augurer d’une espèce à venir. Ce travail a été présenté au Theatre de la Ville à Paris en juin 2016. En collaboration avec la Compagnie Au cul du loup Musique originale : QUINT